6 Kommentare

  1. Ce n'est pas vrai. Ecolo n'est pas le seul parti a avoir pris position.
    Dominique Drion chef de groupe du cdH/CSP en a parlé lors de la présentation du budget au mois d'octobre 2010.

  2. ... und von einer in der DG aktiven Politikerin wie Frau Marenne Loiseau darf man verlangen, dass sie der deutschen Sprache mächtig ist. Die Kolonialzeiten sind Gott sei dank vorbei.

  3. So sehr die DGler auch strampeln und kämpfen und glauben einen besonderen Status in Belgien zu haben... Pustekuchen... wie letztens das BRF-Interview in Verviers zeigte kennt sie keiner und beachtet sie im Ernst auch keiner...
    Die, die glauben wenn die DG nach einem Zerfall Belgiens Teil von D würde, ginge die DG völlig unbeachtet in NRW und RP unter würden sich wundern, wieviel mehr Beachtung dieser Region in D geschenkt würde als wie derzeit in B.

    Pit

  4. Unabhängig davon, dass Ecolo die Frage nach der Stellungnahme eines anderen deutschsprachigen Provinzialmitgliedes meinte, möchte ich den angedeuteten Wortlaut aus dem Beitrag von D. Drion hier eingeben. Somit kann man sich ein Bld machen von der Tragweite seiner Aussage zur Übernahme der Provinzkompetenzen durch die DG.
    Leider auf FRanzösisch:
    ..."Je ne peux clôturer ce volet d‘une Province pour qual faire, sans évoquer un instant la spécificité de la Communaut germanophone. Dans le contexte actuel, la relation Province — Communauté germanophone est nouveau d‘une actualité brûlante.
    Nous n‘ignorons pas qu‘ à plusleurs reprises, tous les partis démocratiques en Communauté germanophone ont demandé le transfert vers ladite Communauté des comptences provinciales et des moyens financiers correspondants.
    Dans le débat qui nous occupe, ii est certainement permis à nos amis de la Communauté germanophone de répéter leurs exigences. Est-ce dire qu‘ils jugent que la Province est inutile ?
    Pour notre parti, la réponse est claire, la Province reste utile. Néanmoins, les contacts avec la Communauté restent encore difficiles notamment pour des raisons linguistiques et ce, malgré les efforts entrepris.
    Nos collègues germanophones illustrent leurs propos par la question du permis de conduire pour les tracteurs, pour un francophone, en raison d‘une initiative heureuse de la Province, ce permis peut être passé pratiquement sans frais, ce qui n‘est pas le cas d‘un citoyen germanophone qui ne parle pas le français.
    L‘exigence germanophone procède bien plus d‘une logique de bon fonctionnement que d‘une critique de l‘existence d‘une institution. (...)"

    Liebe Anne, das bleibt doch sehr schwach, oder? Nichts für ungut! Das musste jetzt sein.