Jeder Belgier muss statistisch gesehen wenigstens einmal in seinem Leben auf der Intensivstation eines Krankenhauses versorgt werden.
Wegen des Fortschritts der Medizin und einer gestiegenen Lebenserwartung sind die Intensivstationen zahlreicher Krankenhäuser heute oft viel stärker ausgelastet als in der Vergangenheit. Einer gestiegenen Zahl von Notfallpatienten steht aber eine geringe Zahl von Notärzten gegenüber.
In einer nicht allzu fernen Zukunft sei deshalb ein Mangel an Notfallmedizinern in Belgien nicht auszuschließen, beklagten die Notärzte beim 31. internationalen Fachkongress am Dienstag in Brüssel.
Weitere Feststellung: Notärzte müssen immer häufiger mit einem Rettungswagen zu Unfällen ausrücken - und fehlen dann auf der Intensivstation ihres Krankenhauses.
Bild: Herwig Vergult (belga)
@Alexander Homann: Und dieses Geschreibe bezeichnen Sie wohl auch noch als ausgewogene Berichterstattung? Na denn, weiterhin viel Erfolg als "Journalist".
Hallo Herr Meyer,
Der Nachrichtenbeitrag von Alexander Homann hat als Basis folgende Belga-Meldung von gestern:
De moins en moins de médecins optent pour les soins intensifs
Les centres médicaux seront confrontés à l'avenir à un manque de médecins
spécialisés pour leur service de soins intensifs. La demande croissante dépasse
en effet l'offre, a-t-on appris mardi en marge du 31e congrès mondial des soins
intensifs qui se déroule à Bruxelles du 22 au 25 mars.
Les services d'urgences sont de plus en plus fréquentés. En raison des progrès
de la médecine, les patients en état grave sont plus nombreux et de plus en
plus âgés. Chaque Belge fréquente ainsi en moyenne une fois dans sa vie les
soins intensifs, a rappelé le professeur Jean-Louis Vincent, chef de service
des soins intensifs de l'hôpital Erasme (ULB).
A l'occasion du congrès international, les participants débattront, entre
autres, de l'organisation de la médecine d'urgence. Le secteur s'attend à un
manque de médecins à cause de la demande de plus en plus forte. "L'offre et la
demande sont encore aujourd'hui tout juste en équilibre dans la plupart des
institutions de soins. Mais à l'avenir, nous risquons un manque important de
personnel", ajoute M. Vincent.
L'envoi de médecins dans les ambulances médicalisées est désormais aussi
au centre des préoccupations. La télémédecine, qui permet d'offrir une aide à
distance, peut se révéler une option attractive mais elle exige des changements
de mentalité, note le professeur Vincent.
Le congrès sera aussi l'occasion de présenter de nouvelles études
touchant à plusieurs domaines, comme la meilleure méthode pour prévenir les
embolies pulmonaires ou les effets d'un nouveau médicament sédatif, le
dexmédétomidine.
Le congrès mondial des soins intensifs réunira, jusqu'à 25 mars, près de
6.000 réanimateurs et urgentistes du monde entier.
Mit freundlichem Gruß
Die Internetredaktion